Publié dans Société

Etudes universitaires - Intégration du changement climatique dans le curriculum de formation 

Publié le dimanche, 27 novembre 2022

L'humanité devrait vivre avec les conséquences du changement climatique. L'environnement et les plantations sont détruits. Les rendements agricoles ne cessent de diminuer. Ainsi, les jeunes sont des acteurs clés de la protection de l'environnement et la lutte contre le changement climatique. 

Dans ses actions de diffusion d'outils issus des projets environnementaux, le programme PAGE/GIZ de l'agence de coopération internationale allemande continue ses engagements. L'objectif est de transmettre aux institutions de formations universitaires et aux centres de  recherche les modules de formation et les connaissances spécifiques sur le changement  climatique déjà développés et disponibles au sein du programme. La première partie a touché six mentions de l'Ecole supérieure polytechnique d'Antananarivo (ESPA) ainsi que douze mentions de l'Institut d'enseignement supérieur d'Antsirabe Vakinankaratra (IESAV).

Pour les enseignants-chercheurs et chercheurs-enseignants, cette formation est une opportunité de comprendre l'importance de l'intégration  du changement climatique dans les curricula  ou  référentiels  de formation universitaire, des bases scientifiques du changement climatique, les informations météorologiques et services climatologiques, l'intégration du changement climatique dans la planification du pays, ainsi que la compréhension des documents cadres et les critères clés pour accéder au financement climatique. 

Cette formation a permis aux participants d'obtenir les éléments d'informations nécessaires afin de conseiller aux apprenants dans la prise des mesures nécessaires, et cela en marge de la mise en place d'un projet de financement axé sur la lutte contre le changement climatique. Les participants  ont  pu  également s'initier sur la logique et les instruments de financement. 

 

Recueillis par A.R.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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